… et Symantec digère ses acquis

Logiciel - Produits - Posté on 23 Sep 2008 at 8:45 par Solange Belkhayat-Fuchs

Deux annonces, chez Symantec. Avec notamment la sortie de la dernière édition de BackupExec, le logiciel de sauvegarde « historique » de la sphère Windows NT Server (ses gènes remontent au tout premier Conner Backup intégré dans NT 3.1). Age et expérience qu´affiche clairement le numéro de version de ce logiciel : 12.5. Au menu la sauvegarde des machines virtuelles VMWare, Citrix et Microsoft (automatisation et gestion des VCB, outil de restauration dédié capable de restituer une sauvegarde vers des architectures virtuelles).

Sans oublier une restauration modulaire de fichiers contenus dans un backup et une prise en compte des applications « nouvelle génération » de la série 2008 -des versions SBS (Small Business Serveur) aux éditions de grande envergure. Et tout ceci applications y comprises telles que SQL Server ou Essential Business 2008 etc. De 760 Euros en version Media Server, évoluant en fonction des accessoires, vendus entre 300 et 2500 Euros. Le programme de restauration spécialisé, Backup Exec System Recovery 8.5, est vendu à partir de 840 Euros par serveur et 53 Euros par poste de travail.

Simultanément, l´éditeur américain envisage de lancer un nouveau service d´accès distant centralisé et protégé, et commercialisé sous forme d´abonnement. Ce Online Remote Access , actuellement en préversion, est une évolution de pcAnywhere. C´est le troisième service managé de Symantec, après une offre de protection périmétrique relativement classique (Symantec Protection Network) et un « Online Backup and Online Storage for Backup Exec », une toute aussi classique externalisation des sauvegardes et du stockage.

Pour des raisons inconnues, les comptes « beta test » de ce futur service sont réservés aux personnes résidant aux Etats Unis et au Canada. Il faut préciser que l´intérêt des grandes entreprises Françaises pour les offres des prestataires de services managés étrangers est fortement tempéré par la crainte de voir leurs propriétés intellectuelles sortir, même provisoirement, des frontières du pays.

Laisser une réponse